-Accueil-



-Nouvelles de Nessuno-



-Historiettes illustrées de Nessuno-




-Ce sont les dernières pensées de Nessuno ?-



-Oui oui ! Et là c'est la suite-





Pensées de Nessuno I

Chapitre Premier

De 1 à 20




Pensées de Nessuno I

Chapitre troisième.

de 42 à 62




Pensées de Nessuno I

Chapitre quatrième

de 63 à 72





Pensées de Nessuno II

Chapitre Premier.

de 1 à 20.



Pensées de Nessuno II

Chapitre deuxième

De 21 à 41.





Pensées de Nessuno II

Chapitre troisième.

De 42 à 62.



Pensées de Nessuno II

Chapitre quatrième.

De 63 à 70.




Veuillez choisir un titre et faire dérouler le menu car la fonctionnalité

(cliquer dessus pour y être redirigé, n'est pas encore active.)

Merci d'avance.


"Les arnaques..."


Ah mesdames et messieurs les arnaques

Arnaqueurs de tout poil qui vous attaquent.

Arnaqueurs à poil long,

Arnaqueurs à poil court,

Avec des bouclettes,

Ceux aux cheveux lisses

Ceux qui vous font les pantalons,

Ceux qui d’abord vous font la cour,

Ceux qui d’un coup de soufflette

Ceux qui ne laissent aucune trace.

Ceux qui via internet

Pensent tout se permettre.

Les traders de la paye pâle

Ceux qui de la couleur de l’argent

Ne font jamais renifler l’odeur.


Ils sont là, doigts tendus sur leur clavier

Là, sans arrêt en train de prospecter.

Passant d’un site à l’autre

Dans leur univers glauque.

Les yeux rivés sur leur écran

À la fortun’sans dout’rêvant ?

Joueurs de poker dérisoires

Espérant la main pour la gloire,

Passant de table en table

Pour finir lamentables.

On les reconnaît top ou tard

À cause de leur teint blafard.

Vérolés qu’ils sont par trojan et consorts.


Si vous croisez mesdames et messieurs

Ce genre d’engeance,

Passez immédiatement l’info

Qu’il s’agit réellement d’un faux.

D’un vrai faux... Vérolé.



"La colère & l'infini..."

Un coup de colère est salutaire

Oui, oui ! Au lieu de toujours se taire.

Se taire trop souvent

Tout étant mécontent

Engendre mêm’des maladies.

Assurément je vous le dit

Gueulez, gueulez mes amis.

Ayez un coup d’revenez-y,

Déroulez vos bandelettes

Allez fair’des galipettes.

Criez, criez à tue-tête.

Que vos voix à l’infini résonnent

Soyez orage et que cela tonne.

Le dôme de verre explosera.

Car l’infini ment mes amis

Mis là Si Do Ré !

Mi Fa talement insondable !

Et pourtant si tangible

Si l’on efface la craie

Sur l’ardoise de notre vie…



"Sous ma boîte crânienne."

Sous ma boîte crânienne

Mes impulsions ces chienne

Me trompent avec mes neurones

M’électrochoqu’à cœur joie

Joie de vivre cellulaire

Adepte de l’adultère.



Mes impulsions reviennent

Et mes neurones s’en vont

Pour se vautrer avec ces chiennes,

Dans une tempête corticale

Dont malheureusement de la beauté

Suis irrémédiablement écarté.

Après la fête, luxure cérébrale,

Mes neurones restants, gueules de bois.

Et mes impulsions dans le froid.

Sous ma boîte crânienne,

Boîte de pandore fracturée

Mon cerveau peu à peu,

Se dilue vers l’abstrait.



"Elle."

Elle

Ses yeux


Elle

Ses mains


Elle

Sa bouche


Elle

Sa poitrine

Son corps

Ses hanches

Ses yeux scintillants comme des astres

Ses yeux ardents comme la braise

Ses yeux d’enfant émerveillé

Ses mains ballerines pirouettant

Ses mains dansant au rythme d’une mélopée imaginaire

Mélopée imaginée pour elles


Sa bouche rouge vermeille

Sa bouche myrtille

Sa poitrine vibrante

Ses seins provocateurs


Son corps ondulant

Ses hanches insolentes


Fraîche et insouciante


Elle


L’était aux temps passés.

Mais le temps est passé

Et en a profité

Plus qu’elle ne pouvait l’imaginer.


Pensant naïvement

Pouvoir tout contrôler.


Mais il en a fait tant et tant...


...Le temps

Avec elle,

Qu’elle ne l’est plus

Insouciante et belle.


La tristesse du regard

Ailleurs, ou sur le départ.

Les nuages noirs de la vie

Sous ses yeux se sont couchés.

Sa bouche boude

Sous son tube de rouge

Toujours à porté.

Ses mains sont muettes,

Ou répètent

Des gestes appris

Cent fois utilisés.

À midi ou à minuit

Ou préparant à midi

Le minuit qui suit.


Ses hanches jouent Il le faut bien.


Toujours belle

Mais par défaut.


Plus grand chose en magasin…

Ou rangé avec grand soin,

Et fermé à mille tours

Au fond de son arrièr’boutique.

Attendant qui sait ? Le jour…

Démaquillée et magnifique,

L’esprit serein et l’âme en paix,

N’ayant plus besoin de jouer,

Pouvant partir se promener.


En attendant, soigneusement

À son miroir amant, le temps.

Tout les matins elle sourit.

De peur que, de tempérament violent.

Il ne la punisse fort, sur le champ.


Certes oui ! Belle.

Mais par défaut




nnnnnnnnnnnnnnnnnnEt une’vitrin’pour les badauds...



"Le petit oiseau."

Il passait petit oiseau.

Il passait au bord de l'eau.

Sifflotant pour les poissons.

L'imitant de là, du fond.

Bondissant tels des chevaux.

Bondissant dehors de l'eau.

Saluant de la nageoire

Le chant de l'oiseau migratoire.

Petit oiseau

Au bord de l’eau

Sifflotant gaiement

La houle narguant

Les poissons hélant.

Un hippocampe apparu

L’oiseau se dit, qui l’eut cru ???...



nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn(à suivre)



Le temps, le temps

Le temps et rien d'autre

Le tien, le mien

Celui qu'on veut nôtre

(Comme le dit notre ami Aznavour.)

Moi je dirais plutôt, que déjà...

Je n’ai nulle intention de le faire mien.


Que même si un jour inévitablement

Le temps nous rattrapera,

En attendant je lui danse dessus

Je m'offre ses putes (les heures.) gratos.


Car avec moi, elles le passe… Le temps

Car le temps est un proxo

Et comme il aurait pu le dire à la place de Bashung

«Ma p’tit’entreprise, connaît pas la crise.»

Et il ne lésine pas sur les moyens



nnnnnnnnLE TEMPS…



Des petites les Secondes.

Aux plus âgées, les Années.

En passant par les Mois.

Il en a pour tous les goûts

Son fond d’commerce est illimité.


Même dans la souffrance il a ses tapineuses

«Tu montes chéri ? Ça va passer»

La mort sa musaraigne…

Est là, cachée, aux aguets.

Esquissant son pas de deux.

Chaque fois qu’un tapin fait monter.


Les horodateurs...

Sont là pour contrôler.

Tout doit être bien fractionner

Pour la personne qui a payé.

L’heure c’est l’heure…

Elles ne doiv’pas l’oublier

Les Secondes, les Heures, les Années.

Sous peine d’être châtiées.


Le temps est là pour tout le monde.

Surtout pour ses employés

Le seul moyen contre le tic tac.

C’est de devenir sourd.


Créer une symphonie,

Ludwig l’avait compris…

Si forte et si puissante

Qu’il ne pourra s’empêcher

De se mettre à danser

Avec la mort son ombre...

Et vous en serez débarrassé.



"L’œuvre & l'artiste."

Une œuvre ne doit pas vouloir être faite.

Elle échappera à l’artiste, si artiste il y a…



"Gelsominetta."

Elle...


Ses yeux étoiles

Éclairant la piste de sa vie.

Tournoyant dans le vide

Trapéziste magique de l'infini.


Elle


Clown vibrant

De rires et de pleurs.

Titubant dans la foule

Trébuchant sur la houle

Des mots proférés.

Elle


Et son gros nez rouge

Assorti à sa bouche.

Que personne ne bouge !

Regardez mon visage !

Je vous prends en otage.

Elle


Yoyo illusoire de vilaines mains.

Yoyo aux fils imaginaires.


Elle


La femme dans son essence

La bouche qui crie la vie.

Les yeux qui trient.

Les mains qui nient

Dans le silence de la nuit.

Les oreilles stéréophonie.


Toi


Clown céleste.

Par delà les rires

Au-delà du pire.

Demain tu riras.

Et l'écho ira

Briser les murs

De l'ignominie.



"Ah les artistes !!!..."

Ah les artistes mesdames et messieurs.


Ceux qui avec l’écharpe blanche,

Ceux qui bardés de nonchalance

Ceux qui pratiquent la sémantique

Ceux qui soutiennent être authentiques

Ceux qui, nuées de vernissages

Ceux qui dans un discret tapage

Ceux qui petits fours à la main

Ceux qui alcooliques mondains

Ceux qui dans un ballet presque parfait



Ceux qui Channel

Ceux qui Guerlain

Ceux qui Dior

Ceux qui Boss

Ceux qui Paco rabanne

Ceux qui Estée Lauder

Ceux qui Thierry Mugler

Ceux qui Jean-Paul Gaultier

Ceux qui Sisley

Ceux qui Reminiscence.

...De ces odeurs entêtés,


Rentrent chez eux, dans un placard à ballet,

Rangeant costum’pour la prochaine soirée…



"Quotidienneté."

Avant un film je matais

Je rime plutôt désormais

Rime riche,

Rime pauvre,

Certains se servent de leur nez,

D'autres ont besoin de s'enfumer.

Mes narines étant sensibles

Et mes poumons susceptibles,

Mon esprit très volatile

Mon être étant abstrait.

Je rim'à mort

Je rim'ma vie

Avant un film je matais

Je le vis plutôt désormais.



"Le peintre & sa toile."

Son couteau à la main,

Rageusement la toil’il torturait.

À jeun depuis matin,

Rien ni personn’n’laurait déconcentré.

Quand soudain un vol d’oiseau passa

Qui dans son élan le contraria.

Levant la tête vers le bruissement d’ailes,

Ne put s’empêcher d’trouver l’échappée belle



Plus de couteau,

Plus de tableau,

Rien que du beau.

Qu’un frémissement bariolé,

Arc en ciel vibrant de musicalité

Qu'aucun peintre ne put imaginé.

Tombant soudain genoux à terre,

La nuque nettement moins fière,

Il se mit à pleurer à chaudes larmes

Se disant que jamais, au grand jamais,

Pareil chef d’œuvre ré existerait.



"L'envolée."

Tu étais là, je te voyais.

Tu t'es posée

Je t'ai regardé

L'envolée fût belle

Mais aussitôt foudroyée

Et de là haut sommes tombés.


Brûlons, consumons-nous.

Nous renaîtrons de nos cendres

Et nous retrouverons, pour recommencer.

Dans un espace sans limite…

À des hauteurs inaccessibles

Aux abjections de ce monde.



"Allons ma belle."

Allons ma belle

Ouvre tes ailes.

Que les balbutiements

De tes états d’enfant


Résonnent à nouveau en toi

Et irradient ton visage,

Illuminent tes yeux,


Chatouillant ta bouche

Qui irrésistiblement rira aux éclats.

De tout, de tous amuse-toi.

Cela l’ardeur te donnera,


De t'élever au dessus de la fange

De cette misère que chaque jour ils mangent.


Allons ma belle

Déploie tes ailes





l’univers est là,


Il est un.

Tu es une.


Un et un ne font pas deux.

L’infini c’est cela...





"La bête."


La lumière s'en est allée.

Et la nuit s’est installée.

Nous vivons l’apocalypse.

Les chevaliers sont là, tapis dans l’ombre.

Les charognards rôdent autour des cadavres décharnés.

Des pluies acides brûlent ce qu'il reste des semblants de paysages.

Hurlements, bouches grandes béantes

Vomissant leur ire inextinguible .

Chevauchées abominablement fantastique.

Écumes torturant la bête épuisée

Se traînant dans la fange mortelle.

L’amenant vers un apaisement éternel.

Mais non, rien à faire.

Elle se relève, se relève

Et encore et encore.

C'est un monstre, une bête de guerre.

Même sans armure elle se bat.

Elle charge, elle chevauche et chevauchera.

Jusqu'à ne plus en pouvoir tenir sur ses sabots.

Et même à ce moment là elle poussera un dernier

Hennissement pour se prouver qu'elle est encore vivante.

Jamais elle ne mourra.

Car son cri retentira.

Dans l'espace, dans le noir.

Dans le noir qui n’existe.

Car le noir est clarté.

La clarté qui est le vide.

La clarté transparence.

Et donc éternité…





"L'artisan."

Un jour l’artisan sera fatigué

Le jour viendra, ses doigts seront usés

À force de répéter

Des gestes pour recréer.

Jamais artist’le mot n’a accepté

Pourtant toujours il s’est amusé.

Toujours cela il fit pour autrui

Cependant pas toujours très adroit

Résultat il en payait le prix.





Des années lui faudront encore

Pour sculpter sa matière

La polir toute entière.

Des années, des années encore

Pour essayer de parfaire

Ce qu’il n’pourra jamais faire…



"Je..."


Je suis le tout

Je suis le rien

Je suis l'engeance du néant

Je suis la cellule implosée

La formule chimique improbable

L'équation insoluble

La question à toutes les réponses

L'illusion parfaite

La note qui n'existe pas

Le verbe non exprimé


nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnlJe suis le cri muet



Je suis la larme stalagmite

La désespérance stalactite

Le credo sans accord

Le bras tendu

La main coupée

Je suis le zoom avorté

L'objectif obstrué

Je suis le quatrième mur



nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnEt mon théâtre est cerné.



"Proverbe I."

« UN TIENS VAUT MIEUX QUE DEUX TU L’AURAS. »


À priori cette phrase est pleine de bon sens, mais si l’on y réfléchi quelque peu…


Le «TIENS !» que l’on vous propose, n’est pas forcément de qualité ou à votre goût ?…


Alors que le : «TU L’AURAS !» pourrait s’avérer beaucoup plus alléchant. Toute la problématique réside là-dedans.

À SAVOIR QUE :


Le... «TU L’AURAS !» est souvent plus attirant que le… «TIENS.»


Donc résultat des courses, la plupart des gens attendent le «TU L’AURAS» et c’est ainsi que l’on fait avancer les masses.


nnnnnnnnnnnnnnnnnnnAvec du «TU L’AURAS.»



Dans le «TU L’AURAS !» il y a quelque chose de fantasmatique. Donc de forcément plus GRAND que le «TIENS.»


Le «TIENS !» est trop facile. Et l’humain a toujours été attiré par le mystère.


Mystère qui est en quelque sorte, inscrit dans le «TU L’AURAS.»


D’autre part, dans ce dernier est sous tendu la notion de récompense. Très important ça…


Dès l’enfance l’humain est mû par cette notion. La notion de récompense.

«Si tu es sage tu auras un bonbon ou un gâteau...»


Sans compter le fait que toute personne un peu réfléchie, à la proposition «Tiens !» va immédiatement se poser la question : Mais pourquoi il ou elle me donne ?...


Qu’est-ce qu’il ou elle attend en échange.


Eh oui ! Quitte à passer pour un dangereux paranoïaque, il y a fort longtemps que...



Le «TIENS !» ne TIENT plus tout seul si je puis me permettre.



TANDIS QUE :


Le «TU L’AURAS !» est une promesse qui elle, par contre, tient la route depuis des siècles et des siècles.


Ne serait-ce que... Au hasard d'un exemple tout simple :


«TU L’AURAS LE PARADIS !»


Hein ??? C’est pas du costaud ça ???... Je pense qu’on n'a jamais fait mieux.


Pour rigoler, un autre exemple mais cette fois avec le «TIENS !» :


nnnnnnnnnnnnn«TIENS, PRENDS LA POMME !»


Peut-être ?… Je ne sais pas... Je ne suis pas un spécialiste mais, peut-être y a-t’il dans l’inconscient collectif cette défiance par rapport au : «TIENS !»


Sans compter qu’accepter le «TIENS» implique des responsabilités auxquelles on doit faire face.


Hors justement… Au plus l’humanité avance et au moins l’être humain ne veut en assumer, des responsabilités.


Ce qui nous ramène à notre proverbe, qui une fois de plus est une phrase toute faite, par un de ces nombreux génies de salons, bien au chaud dans leurs dogmes.





"Proverbe II."


Tout le monde connaît ce vieux proverbe:


«Il vaut mieux être seul que mal accompagné»


Certes ! ! ! … À cette nuance près que l'on ne l’est jamais.


nnnnnnnnnnnnn...Seul...


Ben oui, nos souvenirs nous accompagnent.

Il arrive même qu’ils se matérialisent en fantômes, devenant même des hantises.

Mais m’objecterez-vous, vous devez bien avoir de bons souvenirs ?


Bien sûr, mais il se trouve que lorsqu’ils viennent à nous, les mauvais montent à la charge et nous envahissent…


D’autant plus facilement que nous faisons des efforts désespérés pour nous rappeler les bons.


Moralité :


je ne sais quel est le sombre abruti qui a, un de ces jours où les humanoïdes pensent avoir du génie, balancé sa phrase certainement devant un ou une autre humanoïde, voire plusieurs.



Et ces derniers opinant du chef avec un air entendu.

Toujours est-il qu’à ce moment précis il ne l’était pas…


nnnnnnnnnnnnnnn...Seul…


Et que de plus, pour la balancer, sa fameuse phrase, il fallait qu’il en ait des mauvais souvenirs…


Donc et pour la faire courte, non seulement c’était un grand malheureux, mais de plus, doublé d’un imbécile, imbu de sa personne.


Mais cela n'engage que moi "Nessuno" bien entendu...





"Au delà..."




Au d’là des profondeurs abyssales

Je suis et plus personne ne parle.


Autrefois bacchanales

Aujourd’hui cathédrale...







Le doigt pointé vers le haut

Cherchant Michel Angelo

Dérisoir’peintre clodo


Je flotte.


Même les poissons

Autour des galions

Ne font pas leur ronde.

Il est trop profond...


Ce fond.


Au fond...

Je flotte...

Seul...

Cellulaire...

Bio aquatique...

Très pacifique.


Si profond ce fond

Mêm’pas de houle


Un espace infini...

Ni de bas ni de haut.


Je suis là d’où je viens

Je suis ce que je suis...


Un amas d’eau...

Décoré d’peau.



"Dixit."


Si vous parlez et sentez qu’à un certain moment vous n’avez plus d’écoute...

...Ne vous en offusquez pas.


Continuez jusqu’au moment où, vous vous entendrez…

...Avec vous-même ?

Cela je ne puis le garantir ?


La contradiction étant l'essence même de l'être humain…



"Ma tête..."

Ah ma tête, ma tête !

Comment fais-tu ?

Pour supporter ce bruit.

Couper le son, je ne le puis.

À la folie cela conduit.


Doucement, sûrement, insidieusement.

Mes tympans, instrumentistes infatigables...

Ne lâchent pas la note

Et chaqu’jour développent...

Croches et doubles croches

Qui à mes neurones s’accrochent


Ah ma tête, ma tête !

Comment fais-tu ?

Pour supporter ce bruit !...


Couper le son, je ne le puis.

À la folie cela conduit.





Laissez vos ressentis ici, ils seront les bienvenus

Tous les champs sont obligatoires