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"Les arnaques..."
Ah mesdames et messieurs les arnaques
Arnaqueurs de tout poil qui vous attaquent.
Arnaqueurs à poil long,
Arnaqueurs à poil court,
Avec des bouclettes,
Ceux aux cheveux lisses
Ceux qui vous font les pantalons,
Ceux qui d’abord vous font la cour,
Ceux qui d’un coup de soufflette
Ceux qui ne laissent aucune trace.
Ceux qui via internet
Pensent tout se permettre.
Les traders de la paye pâle
Ceux qui de la couleur de l’argent
Ne font jamais renifler l’odeur.
Ils sont là, doigts tendus sur leur clavier
Là, sans arrêt en train de prospecter.
Passant d’un site à l’autre
Dans leur univers glauque.
Les yeux rivés sur leur écran
À la fortun’sans dout’rêvant ?
Joueurs de poker dérisoires
Espérant la main pour la gloire,
Passant de table en table
Pour finir lamentables.
On les reconnaît top ou tard
À cause de leur teint blafard.
Vérolés qu’ils sont par trojan et consorts.
Si vous croisez mesdames et messieurs
Ce genre d’engeance,
Passez immédiatement l’info
Qu’il s’agit réellement d’un faux.
D’un vrai faux... Vérolé.
"La colère & l'infini..."
Un coup de colère est salutaire
Oui, oui ! Au lieu de toujours se taire.
Se taire trop souvent
Tout étant mécontent
Engendre mêm’des maladies.
Assurément je vous le dit
Gueulez, gueulez mes amis.
Ayez un coup d’revenez-y,
Déroulez vos bandelettes
Allez fair’des galipettes.
Criez, criez à tue-tête.
Que vos voix à l’infini résonnent
Soyez orage et que cela tonne.
Le dôme de verre explosera.
Car l’infini ment mes amis
Mis là Si Do Ré !
Mi Fa talement insondable !
Et pourtant si tangible
Si l’on efface la craie
Sur l’ardoise de notre vie…
"Sous ma boîte crânienne."
Sous ma boîte crânienne
Mes impulsions ces chienne
Me trompent avec mes neurones
M’électrochoqu’à cœur joie
Joie de vivre cellulaire
Adepte de l’adultère.
Mes impulsions reviennent
Et mes neurones s’en vont
Pour se vautrer avec ces chiennes,
Dans une tempête corticale
Dont malheureusement de la beauté
Suis irrémédiablement écarté.
Après la fête, luxure cérébrale,
Mes neurones restants, gueules de bois.
Et mes impulsions dans le froid.
Sous ma boîte crânienne,
Boîte de pandore fracturée
Mon cerveau peu à peu,
Se dilue vers l’abstrait.
"Elle."
Elle
Ses yeux
Elle
Ses mains
Elle
Sa bouche
Elle
Sa poitrine
Son corps
Ses hanches
Ses yeux scintillants comme des astres
Ses yeux ardents comme la braise
Ses yeux d’enfant émerveillé
Ses mains ballerines pirouettant
Ses mains dansant au rythme d’une mélopée imaginaire
Mélopée imaginée pour elles
Sa bouche rouge vermeille
Sa bouche myrtille
Sa poitrine vibrante
Ses seins provocateurs
Son corps ondulant
Ses hanches insolentes
Fraîche et insouciante
Elle
L’était aux temps passés.
Mais le temps est passé
Et en a profité
Plus qu’elle ne pouvait l’imaginer.
Pensant naïvement
Pouvoir tout contrôler.
Mais il en a fait tant et tant...
...Le temps
Avec elle,
Qu’elle ne l’est plus
Insouciante et belle.
La tristesse du regard
Ailleurs, ou sur le départ.
Les nuages noirs de la vie
Sous ses yeux se sont couchés.
Sa bouche boude
Sous son tube de rouge
Toujours à porté.
Ses mains sont muettes,
Ou répètent
Des gestes appris
Cent fois utilisés.
À midi ou à minuit
Ou préparant à midi
Le minuit qui suit.
Ses hanches jouent Il le faut bien.
Toujours belle
Mais par défaut.
Plus grand chose en magasin…
Ou rangé avec grand soin,
Et fermé à mille tours
Au fond de son arrièr’boutique.
Attendant qui sait ? Le jour…
Démaquillée et magnifique,
L’esprit serein et l’âme en paix,
N’ayant plus besoin de jouer,
Pouvant partir se promener.
En attendant, soigneusement
À son miroir amant, le temps.
Tout les matins elle sourit.
De peur que, de tempérament violent.
Il ne la punisse fort, sur le champ.
Certes oui ! Belle.
Mais par défaut
nnnnnnnnnnnnnnnnnnEt une’vitrin’pour les badauds...
"Le petit oiseau."
Il passait petit oiseau.
Il passait au bord de l'eau.
Sifflotant pour les poissons.
L'imitant de là, du fond.
Bondissant tels des chevaux.
Bondissant dehors de l'eau.
Saluant de la nageoire
Le chant de l'oiseau migratoire.
Petit oiseau
Au bord de l’eau
Sifflotant gaiement
La houle narguant
Les poissons hélant.
Un hippocampe apparu
L’oiseau se dit, qui l’eut cru ???...
nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn(à suivre)
Le temps, le temps
Le temps et rien d'autre
Le tien, le mien
Celui qu'on veut nôtre
(Comme le dit notre ami Aznavour.)
Moi je dirais plutôt, que déjà...
Je n’ai nulle intention de le faire mien.
Que même si un jour inévitablement
Le temps nous rattrapera,
En attendant je lui danse dessus
Je m'offre ses putes (les heures.) gratos.
Car avec moi, elles le passe… Le temps
Car le temps est un proxo
Et comme il aurait pu le dire à la place de Bashung
«Ma p’tit’entreprise, connaît pas la crise.»
Et il ne lésine pas sur les moyens
nnnnnnnnLE TEMPS…
Des petites les Secondes.
Aux plus âgées, les Années.
En passant par les Mois.
Il en a pour tous les goûts
Son fond d’commerce est illimité.
Même dans la souffrance il a ses tapineuses
«Tu montes chéri ? Ça va passer»
La mort sa musaraigne…
Est là, cachée, aux aguets.
Esquissant son pas de deux.
Chaque fois qu’un tapin fait monter.
Les horodateurs...
Sont là pour contrôler.
Tout doit être bien fractionner
Pour la personne qui a payé.
L’heure c’est l’heure…
Elles ne doiv’pas l’oublier
Les Secondes, les Heures, les Années.
Sous peine d’être châtiées.
Le temps est là pour tout le monde.
Surtout pour ses employés
Le seul moyen contre le tic tac.
C’est de devenir sourd.
Créer une symphonie,
Ludwig l’avait compris…
Si forte et si puissante
Qu’il ne pourra s’empêcher
De se mettre à danser
Avec la mort son ombre...
Et vous en serez débarrassé.
"L’œuvre & l'artiste."
Une œuvre ne doit pas vouloir être faite.
Elle échappera à l’artiste, si artiste il y a…
"Gelsominetta."
Elle...
Ses yeux étoiles
Éclairant la piste de sa vie.
Tournoyant dans le vide
Trapéziste magique de l'infini.
Elle
Clown vibrant
De rires et de pleurs.
Titubant dans la foule
Trébuchant sur la houle
Des mots proférés.
Elle
Et son gros nez rouge
Assorti à sa bouche.
Que personne ne bouge !
Regardez mon visage !
Je vous prends en otage.
Elle
Yoyo illusoire de vilaines mains.
Yoyo aux fils imaginaires.
Elle
La femme dans son essence
La bouche qui crie la vie.
Les yeux qui trient.
Les mains qui nient
Dans le silence de la nuit.
Les oreilles stéréophonie.
Toi
Clown céleste.
Par delà les rires
Au-delà du pire.
Demain tu riras.
Et l'écho ira
Briser les murs
De l'ignominie.
"Ah les artistes !!!..."
Ah les artistes mesdames et messieurs.
Ceux qui avec l’écharpe blanche,
Ceux qui bardés de nonchalance
Ceux qui pratiquent la sémantique
Ceux qui soutiennent être authentiques
Ceux qui, nuées de vernissages
Ceux qui dans un discret tapage
Ceux qui petits fours à la main
Ceux qui alcooliques mondains
Ceux qui dans un ballet presque parfait
Ceux qui Channel
Ceux qui Guerlain
Ceux qui Dior
Ceux qui Boss
Ceux qui Paco rabanne
Ceux qui Estée Lauder
Ceux qui Thierry Mugler
Ceux qui Jean-Paul Gaultier
Ceux qui Sisley
Ceux qui Reminiscence.
...De ces odeurs entêtés,
Rentrent chez eux, dans un placard à ballet,
Rangeant costum’pour la prochaine soirée…
"Quotidienneté."
Avant un film je matais
Je rime plutôt désormais
Rime riche,
Rime pauvre,
Certains se servent de leur nez,
D'autres ont besoin de s'enfumer.
Mes narines étant sensibles
Et mes poumons susceptibles,
Mon esprit très volatile
Mon être étant abstrait.
Je rim'à mort
Je rim'ma vie
Avant un film je matais
Je le vis plutôt désormais.
"Le peintre & sa toile."
Son couteau à la main,
Rageusement la toil’il torturait.
À jeun depuis matin,
Rien ni personn’n’laurait déconcentré.
Quand soudain un vol d’oiseau passa
Qui dans son élan le contraria.
Levant la tête vers le bruissement d’ailes,
Ne put s’empêcher d’trouver l’échappée belle
Plus de couteau,
Plus de tableau,
Rien que du beau.
Qu’un frémissement bariolé,
Arc en ciel vibrant de musicalité
Qu'aucun peintre ne put imaginé.
Tombant soudain genoux à terre,
La nuque nettement moins fière,
Il se mit à pleurer à chaudes larmes
Se disant que jamais, au grand jamais,
Pareil chef d’œuvre ré existerait.
"L'envolée."
Tu étais là, je te voyais.
Tu t'es posée
Je t'ai regardé
L'envolée fût belle
Mais aussitôt foudroyée
Et de là haut sommes tombés.
Brûlons, consumons-nous.
Nous renaîtrons de nos cendres
Et nous retrouverons, pour recommencer.
Dans un espace sans limite…
À des hauteurs inaccessibles
Aux abjections de ce monde.
"Allons ma belle."
Allons ma belle
Ouvre tes ailes.
Que les balbutiements
De tes états d’enfant
Résonnent à nouveau en toi
Et irradient ton visage,
Illuminent tes yeux,
Chatouillant ta bouche
Qui irrésistiblement rira aux éclats.
De tout, de tous amuse-toi.
Cela l’ardeur te donnera,
De t'élever au dessus de la fange
De cette misère que chaque jour ils mangent.
Allons ma belle
Déploie tes ailes
l’univers est là,
Il est un.
Tu es une.
Un et un ne font pas deux.
L’infini c’est cela...
"La bête."
La lumière s'en est allée.
Et la nuit s’est installée.
Nous vivons l’apocalypse.
Les chevaliers sont là, tapis dans l’ombre.
Les charognards rôdent autour des cadavres décharnés.
Des pluies acides brûlent ce qu'il reste des semblants de paysages.
Hurlements, bouches grandes béantes
Vomissant leur ire inextinguible .
Chevauchées abominablement fantastique.
Écumes torturant la bête épuisée
Se traînant dans la fange mortelle.
L’amenant vers un apaisement éternel.
Mais non, rien à faire.
Elle se relève, se relève
Et encore et encore.
C'est un monstre, une bête de guerre.
Même sans armure elle se bat.
Elle charge, elle chevauche et chevauchera.
Jusqu'à ne plus en pouvoir tenir sur ses sabots.
Et même à ce moment là elle poussera un dernier
Hennissement pour se prouver qu'elle est encore vivante.
Jamais elle ne mourra.
Car son cri retentira.
Dans l'espace, dans le noir.
Dans le noir qui n’existe.
Car le noir est clarté.
La clarté qui est le vide.
La clarté transparence.
Et donc éternité…
"L'artisan."
Un jour l’artisan sera fatigué
Le jour viendra, ses doigts seront usés
À force de répéter
Des gestes pour recréer.
Jamais artist’le mot n’a accepté
Pourtant toujours il s’est amusé.
Toujours cela il fit pour autrui
Cependant pas toujours très adroit
Résultat il en payait le prix.
Des années lui faudront encore
Pour sculpter sa matière
La polir toute entière.
Des années, des années encore
Pour essayer de parfaire
Ce qu’il n’pourra jamais faire…
"Je..."
Je suis le tout
Je suis le rien
Je suis l'engeance du néant
Je suis la cellule implosée
La formule chimique improbable
L'équation insoluble
La question à toutes les réponses
L'illusion parfaite
La note qui n'existe pas
Le verbe non exprimé
nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnlJe suis le cri muet
Je suis la larme stalagmite
La désespérance stalactite
Le credo sans accord
Le bras tendu
La main coupée
Je suis le zoom avorté
L'objectif obstrué
Je suis le quatrième mur
nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnEt mon théâtre est cerné.
"Proverbe I."
« UN TIENS VAUT MIEUX QUE DEUX TU L’AURAS. »
À priori cette phrase est pleine de bon sens, mais si l’on y réfléchi quelque peu…
Le «TIENS !» que l’on vous propose, n’est pas forcément de qualité ou à votre goût ?…
Alors que le : «TU L’AURAS !» pourrait s’avérer beaucoup plus alléchant. Toute la problématique réside là-dedans.
À SAVOIR QUE :
Le... «TU L’AURAS !» est souvent plus attirant que le… «TIENS.»
Donc résultat des courses, la plupart des gens attendent le «TU L’AURAS» et c’est ainsi que l’on fait avancer les masses.
nnnnnnnnnnnnnnnnnnnAvec du «TU L’AURAS.»
Dans le «TU L’AURAS !» il y a quelque chose de fantasmatique. Donc de forcément plus GRAND que le… «TIENS.»
Le «TIENS !» est trop facile. Et l’humain a toujours été attiré par le mystère.
Mystère qui est en quelque sorte, inscrit dans le «TU L’AURAS.»
D’autre part, dans ce dernier est sous tendu la notion de récompense. Très important ça…
Dès l’enfance l’humain est mû par cette notion. La notion de récompense.
«Si tu es sage tu auras un bonbon ou un gâteau...»
Sans compter le fait que toute personne un peu réfléchie, à la proposition «Tiens !» va immédiatement se poser la question : Mais pourquoi il ou elle me donne ?...
Qu’est-ce qu’il ou elle attend en échange.
Eh oui ! Quitte à passer pour un dangereux paranoïaque, il y a fort longtemps que...
Le «TIENS !» ne TIENT plus tout seul si je puis me permettre.
TANDIS QUE :
Le «TU L’AURAS !» est une promesse qui elle, par contre, tient la route depuis des siècles et des siècles.
Ne serait-ce que... Au hasard d'un exemple tout simple :
«TU L’AURAS LE PARADIS !»
Hein ??? C’est pas du costaud ça ???... Je pense qu’on n'a jamais fait mieux.
Pour rigoler, un autre exemple mais cette fois avec le «TIENS !» :
nnnnnnnnnnnnn«TIENS, PRENDS LA POMME !»
Peut-être ?… Je ne sais pas... Je ne suis pas un spécialiste mais, peut-être y a-t’il dans l’inconscient collectif cette défiance par rapport au : «TIENS !»
Sans compter qu’accepter le «TIENS» implique des responsabilités auxquelles on doit faire face.
Hors justement… Au plus l’humanité avance et au moins l’être humain ne veut en assumer, des responsabilités.
Ce qui nous ramène à notre proverbe, qui une fois de plus est une phrase toute faite, par un de ces nombreux génies de salons, bien au chaud dans leurs dogmes.
"Proverbe II."
Tout le monde connaît ce vieux proverbe:
«Il vaut mieux être seul que mal accompagné»
Certes ! ! ! … À cette nuance près que l'on ne l’est jamais.
nnnnnnnnnnnnn...Seul...
Ben oui, nos souvenirs nous accompagnent.
Il arrive même qu’ils se matérialisent en fantômes, devenant même des hantises.
Mais m’objecterez-vous, vous devez bien avoir de bons souvenirs ?
Bien sûr, mais il se trouve que lorsqu’ils viennent à nous, les mauvais montent à la charge et nous envahissent…
D’autant plus facilement que nous faisons des efforts désespérés pour nous rappeler les bons.
Moralité :
je ne sais quel est le sombre abruti qui a, un de ces jours où les humanoïdes pensent avoir du génie, balancé sa phrase certainement devant un ou une autre humanoïde, voire plusieurs.
Et ces derniers opinant du chef avec un air entendu.
Toujours est-il qu’à ce moment précis il ne l’était pas…
nnnnnnnnnnnnnnn...Seul…
Et que de plus, pour la balancer, sa fameuse phrase, il fallait qu’il en ait des mauvais souvenirs…
Donc et pour la faire courte, non seulement c’était un grand malheureux, mais de plus, doublé d’un imbécile, imbu de sa personne.
Mais cela n'engage que moi "Nessuno" bien entendu...
"Au delà..."
Au d’là des profondeurs abyssales
Je suis et plus personne ne parle.
Autrefois bacchanales
Aujourd’hui cathédrale...
Le doigt pointé vers le haut
Cherchant Michel Angelo
Dérisoir’peintre clodo
Je flotte.
Même les poissons
Autour des galions
Ne font pas leur ronde.
Il est trop profond...
Ce fond.
Au fond...
Je flotte...
Seul...
Cellulaire...
Bio aquatique...
Très pacifique.
Si profond ce fond
Mêm’pas de houle
Un espace infini...
Ni de bas ni de haut.
Je suis là d’où je viens
Je suis ce que je suis...
Un amas d’eau...
Décoré d’peau.
"Dixit."
Si vous parlez et sentez qu’à un certain moment vous n’avez plus d’écoute...
...Ne vous en offusquez pas.
Continuez jusqu’au moment où, vous vous entendrez…
...Avec vous-même ?
Cela je ne puis le garantir ?
La contradiction étant l'essence même de l'être humain…
"Ma tête..."
Ah ma tête, ma tête !
Comment fais-tu ?
Pour supporter ce bruit.
Couper le son, je ne le puis.
À la folie cela conduit.
Doucement, sûrement, insidieusement.
Mes tympans, instrumentistes infatigables...
Ne lâchent pas la note
Et chaqu’jour développent...
Croches et doubles croches
Qui à mes neurones s’accrochent
Ah ma tête, ma tête !
Comment fais-tu ?
Pour supporter ce bruit !...
Couper le son, je ne le puis.
À la folie cela conduit.
Laissez vos ressentis ici, ils seront les bienvenus